Ce vendredi 17 février 2017, j’étais l’invitée de Martin Buxant à 7h50 sur BelRTL.
Une première pour moi, et l’occasion de faire le point sur Publifin et les mesures de bonne gouvernance proposées par le MR.
Ce vendredi 17 février 2017, j’étais l’invitée de Martin Buxant à 7h50 sur BelRTL.
Une première pour moi, et l’occasion de faire le point sur Publifin et les mesures de bonne gouvernance proposées par le MR.
[Article du bulletin communal]
Neupré a enfin décidé d’adhérer en 2017 à l’une des 28 Maisons wallonnes du Tourisme. Nous soutenons cette approche supracommunale qui valorise les atouts touristiques des entités qui la compose. Seules notre commune et Montigny-le-Tilleul n’avaient pas fait le pas. Nous l’avions d’ailleurs déploré au conseil communal.
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En outre, le choix de la Maison du tourisme Ourthe-Vesdre-Amblève qui regroupe Ouffet, Anthisnes, Esneux, Hamoir, Ferrières, Stoumont, Aywaille, Comblain au Pont, Trooz, Chaudfontaine, Sprimont, communes similaires à la nôtre, est le bon. D’une part, cette participation permettra à Neupré de rayonner davantage par une valorisation notamment du cimetière américain, un des 14 cimetières permanents américains de la Deuxième Guerre mondiale établis hors du territoire américain. Ce mémorial doit davantage être promu pour rappeler que notre liberté a un prix et qu’elle n’est jamais définitivement acquise. Nous pensons également au point de vue de la Roche aux Faucons, aux balades dans nos campagnes, à nos châteaux, chapelles, églises et à la Réserve naturelle agréée du Rognac. D’autre part, s’inscrire dans cette dynamique permettra à notre commune de mieux faire connaître les attractions touristiques de nos voisins pour le plus grand bonheur des Neupréens.
Créer des synergies pour être plus efficaces, plus visibles et ce pour un budget raisonnable, tel est ce beau projet de collaboration qui pourrait pourquoi pas s’étendre à d’autres types de partenariats avec les communes de la région d’Ourthe-Vesdre-Amblève!
Ce mercredi 25 janvier 2017, le plan autisme était enfin présenté au Parlement.
Enfin, car il aura fallu plus de 9 mois pour que les quatre Ministres qui l’avaient à l’époque présenté à la presse ne viennent chacun devant leur commission respective, réunies pour l’occasion lors d’une grande commission conjointe.
Après une rapide présentation du plan par les Ministres, j’ai pu relayer les questions que les familles, associations et acteurs de terrains avaient soulevés lors de très nombreuses rencontres et réunions que j’ai eues à ce sujet.
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En effet, si j’avais déjà posé pas moins de 30 questions parlementaires relatives à l’autisme, la présentation du plan devait permettre de relayer, encore une fois, les préoccupations de celles et ceux qui vivent l’autisme au quotidien.
Ce plan autisme, c’est incontestable, est une avancée.
S’il est porté par quatre Ministres (CDH), j’ai d’emblée regretté l’absence du Ministre Marcourt. Une des actions principales du plan transversal autisme est pourtant la formation du personnel médical, scolaire et d’accueil.
Sur le fond, j’ai déploré l’absence d’un calendrier, avec des échéances. Je pense que, plutôt que ce catalogue de bonnes intentions, il aurait été préférable de prévoir une liste des mesures avec les priorités, une échéance, un budget précis, les ministres pilotes et une grille d’analyse permettant de réaliser une évaluation régulière. La France, qui en est déjà à son troisième plan autisme, ne fait d’ailleurs pas autrement.
Seuls 10 millions sont prévus pour un appel à projets en infrastructures. Ils sont cependant annoncés depuis plus d’un an par le Ministre lors de chaque interview ou en réponse à chaque question parlementaire. Rien de neuf donc et rien pour les autres axes du plan si ce n’est quelques petits budgets annoncés ça et là mais sans grande précision.
J’ai également posé des questions sur les politiques prévues en ce qui concerne les adultes avec TSA, pour les plus de 21 ans, notamment en termes d’hébergement et demploi. Trop peu de précisions et de mesures concrètes sont, à mon sens, apportées à ce sujet dans le plan autisme.
J’ai aussi rappelé l’importance d’un dépistage précoce. On sait que les Ministres de la Fédération Wallonie-Bruxelles ne sont pas favorables au dépistage rapide à la crèche notamment, mais n’oublions pas que plus un enfant est dépisté tôt, plus ses chances d’être autonome par la suite sont élevées.
Il en va de même des bonne pratiques. Trop peu de précisions à leur sujet dans le plan autisme, je l’ai regretté ! Elles sont pourtant moins coûteuses et plus efficaces qu’un suivi psychiatrique.
Au niveau de l’enseignement, j’ai souligné que les projets actuellement sur la table pour la création de nouvelles places dans les écoles étaient tous concentrés en province du Brabant wallon ou à Bruxelles. Si le critère géographique ne peut, bien sûr, être le seul pris en compte pour le développement de ces politiques, il convient cependant de ne pas le négliger !
En résumé, je pense que pour être efficace, il serait opportun de retirer quelques mesures phares avec un budget précis en rapport avec les capacités de financement des entités fédérées plutôt qu’une liste interminable qui pourrait finalement donner de faux espoirs aux parents et aux professionnels du secteur.
Pour conclure sur une note positive, je retiendrai que le Ministre wallon de l’action sociale et de la Santé a reconnu que ce plan transversal autisme ne pouvait constituer qu’une première étape et qu’il faudrait aller plus loin à l’avenir.
Cliquez ici pour accéder au compte-rendu complet de la commission du 25 janvier
Cliquez ici pour accéder au plan autisme
Cliquez ici pour accéder à ma proposition de résolution relatives à des mesures concrètes pour une meilleure prise en charge de l’autisme
Cliquez ici pour accéder aux questions que j’ai déposées suite à la présentation du plan le 25 janvier
Ce vendredi 27 janvier 2017, je participais à un débat organisé par la CGSLB, le syndicat libéral.
L’objectif de ce débat était, notamment, d’analyser les avancées obtenues par la Wallonie suite à la saga autour du CETA fin de l’année 2016. De l’avis de tous les intervenants présents, rien n’a été obtenu si ce n’est une percée dans les sondages pour le Ministre-Président wallon.
Seule une déclaration interprétative est venue réexpliquer certaines dimensions. Il s’agit d’un document complémentaire au traité. Est-ce pour cela que ni le PS, ni le CDH n’ont souhaité participer au débat ? Oui !
Ce débat fut également l’occasion de réexpliquer la position du MR sur le CETA. Le CETA ce n’est pas le TTIP. Le Canada, ce n’est pas les Etats-Unis. Le Canada est un pays ami qui partage les mêmes valeurs que les nôtres. Si nous n’acceptions pas un traité avec un pays comme le Canada, avec qui nous avons tant de relations privilégiées, avec quel autre pays pourrait-on encore le faire ?
J’ai rappelé que c’était une bonne chose que le Parlement de Wallonie se soit approprié le dossier du CETA, tout comme la population, mais attention au repli sur soi ! Il est important que l’Europe ne se referme pas sur elle-même. Si la déclaration interprétative a un mérite, c’est certainement celui d’avoir clarifié les choses et d’avoir apaisé les craintes de la population.
Suite à la saga du CETA, il faut cependant constater aujourd’hui, et donc regretter, une réelle inquiétude et méfiance dans le chef des partenaires avec lesquels l’Europe négocie actuellement. Cela nous a d’ailleurs été confirmé récemment par Monsieur Petriccione, le Directeur général adjoint de la Direction générale du commerce de la Commission européenne (il fut l’une des chevilles ouvrières du CETA), qui était auditionné au Parlement de Wallonie. Il s’agit désormais de rassurer ces pays et de les encourager à poursuivre les négociations avec nous pour aboutir à des accords équilibrés au profit de nos entreprises et de nos concitoyens..
Rappelons enfin que le CETA est une opportunité de création d’emplois et qu’il va renforcer les exportations wallonnes, ce dont manque cruellement nos entreprises. D’ailleurs, même l’administratrice générale de l’AWEX a reconnu l’importance de ce traité !
Retrouvez, ci-dessous, les questions que j’ai posées lors du Conseil de police du 16 janvier dernier.
On sait que la mobilité autour des établissements scolaires pose parfois des difficultés, notamment, bien sûr, le matin lorsque de nombreux enfants sont conduits plus ou moins au même moment.
Continuer la lecture de Mon interpellation au Conseil de police du 16 janvier 2017